La« tarte Ă masteilles » ou « tarte Gouyasse » est une prĂ©paration typique de la Ducasse d'Ath, en Belgique. Lâorigine de cette tarte se perd dans les brumes de lâhistoire. Lâexistence dâune tarte dâAth est attestĂ©e en 1529. En 1810, câest la premiĂšre mention dâune tarte Goliath.
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Legrandin 016 Enfin ma mĂšre me disait 017 Sur la table, il y avait la mĂȘme assiette de massepains 018 Aussi je nâentrais plus dans le cabinet de repos 019 Cette obscure fraĂźcheur de ma chambre 020 Quelquefois jâĂ©tais tirĂ© de ma lecture 021 Jâavais entendu parler de Bergotte 022 Un jour, ayant rencontrĂ© dans un livre de Bergotte 023 Tandis que je lisais au jardin 024 Le curĂ© avait tellement fatiguĂ© ma tante 025 Quand je dis quâen dehors dâĂ©vĂ©nements trĂšs rares 026 Si la journĂ©e du samedi, qui commençait une heure plus tĂŽt 027 Ă cette heure oĂč je descendais apprendre le menu 028 HĂ©las ! nous devions dĂ©finitivement changer dâopinion sur Legrandin 029 Je dĂźnai avec Legrandin sur sa terrasse 030 Nous rentrions toujours de bonne heure de nos promenades 031 Quand on voulait aller du cĂŽtĂ© de MĂ©sĂ©glise 032 La haie laissait voir Ă lâintĂ©rieur du parc 033 LĂ©onie, dit mon grand-pĂšre en rentrant 034 Une fois dans les champs, on ne les quittait plus 035 Comme la promenade du cĂŽtĂ© de MĂ©sĂ©glise Ă©tait la moins longue 036 Mes promenades de cet automne-lĂ furent dâautant plus agrĂ©ables 037 Câest peut-ĂȘtre dâune impression ressentie aussi auprĂšs de Montjouvain 038 Sâil Ă©tait assez simple dâaller du cĂŽtĂ© de MĂ©sĂ©glise, câĂ©tait une autre affaire dâaller du cĂŽtĂ© de Guermantes 039 Je mâamusais Ă regarder les carafes que les gamins mettaient dans la Vivonne 040 Un jour ma mĂšre me dit 041 Combien depuis ce jour, dans mes promenades du cĂŽtĂ© de Guermantes 042 Pendant toute la journĂ©e, dans ces promenades, jâavais pu rĂȘver au plaisir 043 Câest ainsi que je restais souvent jusquâau matin Ă songer au temps de Combray 044 Un amour de Swann Pour faire partie du petit noyau 045 Certes le petit noyau nâavait aucun rapport avec la sociĂ©tĂ© oĂč frĂ©quentait Swann 046 Mais, tandis que chacune de ces liaisons 047 Mon grand-pĂšre avait prĂ©cisĂ©ment connu 048 En disant aux Verdurin que Swann Ă©tait trĂšs smart 049 LâannĂ©e prĂ©cĂ©dente, dans une soirĂ©e 050 Aussi quand le pianiste eut fini, Swann 051 Si l'on n'avait pas arrangĂ© une partie au-dehors c'est chez les Verdurin 052 Mais il n'entrait jamais chez elle 053 Une seconde visite qu'il lui fit eut plus d'importance 054 Rien qu'en approchant de chez les Verdurin 055 Sur le palier, Swann avait Ă©tĂ© rejoint par le maĂźtre d'hĂŽtel 056 Il monta avec elle dans la voiture 057 Maintenant, tous les soirs, quand il l'avait ramenĂ©e chez elle 058 Chaque baiser appelle un autre baiser 059 Et en effet elle trouvait Swann intellectuellement infĂ©rieur 060 Comme tout ce qui environnait Odette 061 Il y avait Ă ce dĂźner, en dehors des habituĂ©s 062 Mme Cottard qui Ă©tait modeste et parlait peu 063 Saniette 064 En rĂ©alitĂ© il n'y avait pas un fidĂšle qui ne fĂ»t plus malveillant que Swann 065 Le soir, quand il ne restait pas chez lui Ă attendre l'heure de retrouver Odette 066 Un soir oĂč Swann avait acceptĂ© de dĂźner avec les Verdurin 067 Il ne lui parla pas de cette mĂ©saventure 068 Quand il voulut dire adieu Ă Odette pour rentrer 069 Un mois aprĂšs le jour oĂč il avait lu la lettre adressĂ©e par Odette Ă Forcheville 070 Alors ce salon qui avait rĂ©uni Swann et Odette devint un obstacle 071 Il avait eu un moment l'idĂ©e, pour pouvoir aller Ă CompiĂšgne 072 Il est vrai qu'un jour Forcheville 073 AprĂšs ces tranquilles soirĂ©es les soupçons de Swann 074 Ainsi, par le chimisme mĂȘme de son mal 075 Certes l'Ă©tendue de cet amour, Swann n'en avait pas une conscience directe 076 Mon oncle conseilla Ă Swann de rester un peu sans voir Odette 077 MĂȘme quand il ne pouvait savoir oĂč elle Ă©tait allĂ©e 078 Il arrivait encore parfois, quand, ayant rencontrĂ© Swann, elle voyait 079 Le baron lui promit d'aller faire la visite 080 Swann s'Ă©tait avancĂ©, sur l'insistance de Mme de Saint-Euverte 081 Le pianiste ayant terminĂ© le morceau de Liszt 082 Le pianiste qui avait Ă jouer deux morceaux de Chopin 083 Swann, habituĂ© quand il Ă©tait auprĂšs d'une femme 084 Mais le concert recommença et Swann comprit 085 Il y a dans le violon â si, ne voyant pas l'instrument 086 Swann n'avait donc pas tort de croire que la phrase de la sonate existĂąt rĂ©ellement 087 Ă partir de cette soirĂ©e, Swann comprit que le sentiment qu'Odette 088 Un jour il reçut une lettre anonyme, qui lui disait qu'Odette 089 Un jour, Ă©tant dans la pĂ©riode de calme la plus longue 090 Swann avait envisagĂ© toutes les possibilitĂ©s. La rĂ©alitĂ© est 091 Ce second coup portĂ© Ă Swann Ă©tait plus atroce 092 Une fois elle lui parla d'une visite que Forcheville 093 Certains soirs elle redevenait tout d'un coup avec lui d'une gentillesse 094 Le peintre ayant Ă©tĂ© malade, le docteur Cottard lui conseilla un voyage 095 Il se trompait. Il devait la revoir une fois encore 096 Noms de pays le nom Parmi les chambres dont j'Ă©voquais le plus souvent l'image 097 Le nom de Parme, une des villes oĂč je dĂ©sirais le plus aller 098 Mais je n'Ă©tais encore qu'en chemin vers le dernier degrĂ© de l'allĂ©gresse 099 Le premier de ces jours â auxquels la neige 100 Mais au moment mĂȘme, je ne pouvais apprĂ©cier la valeur de ces plaisirs nouveaux 101 J'avais toujours Ă portĂ©e de ma main un plan de Paris 102 Les jours oĂč Gilberte m'avait annoncĂ© qu'elle ne devait pas venir 103 Je rejoignis les bords du lac 104 2. A l'Ombre des Jeunes Filles en Fleurs Ma mĂšre, quand il fut question 105 Le premier dĂźner que M. de Norpois 106 HĂ©las ! cette premiĂšre matinĂ©e fut une grande dĂ©ception 107 Enfin Ă©clata mon premier sentiment d'admiration 108 Mon pĂšre avait pour mon genre d'intelligence un mĂ©pris 109 Quant Ă Vaugoubert, vous savez qu'il avait Ă©tĂ© fort attaquĂ© 110 Ce changement n'Ă©tait peut-ĂȘtre pas aussi extraordinaire 111 AtterrĂ© par ce que M. de Norpois venait de me dire 112 Ma mĂšre ne parut pas trĂšs satisfaite que mon pĂšre 113 Quand vint le 1er janvier 114 Peut-ĂȘtre aussi cette activitĂ© de tous les sens Ă la fois 115 Mes suffocations ayant persistĂ© 116 Bien plus, les goĂ»ters eux-mĂȘmes que Gilberte offrait 117 Quand Mme Swann Ă©tait retournĂ©e auprĂšs de ses visites 118 La facultĂ© de dire de telles choses 119 Ces dispositions nouvelles du kalĂ©idoscope 120 Ce ne fut pas seulement Ă ces goĂ»ters 121 Au reste, le plus souvent, nous ne restions pas Ă la maison 122 Pendant ces minutes oĂč Gilberte, partie se prĂ©parer 123 Au jardin d'Acclimatation, que j'Ă©tais fier 124 Swann ne tenait plus en place 125 Aussi â de mĂȘme que la diction de Bergotte 126 Si, pourtant, malgrĂ© tant de correspondances 127 Cependant Gilberte qu'on avait dĂ©jĂ priĂ©e deux fois 128 Mon Dieu, mais comme votre prĂ©sence Ă©lĂšve le niveau 129 La malveillance avec laquelle Bergotte parlait 130 Cette Rachel, que j'aperçus sans qu'elle me vĂźt 131 La derniĂšre fois que je vins voir Gilberte 132 Ă cette acceptation, je finis pourtant par arriver 133 DĂšs la fin d'octobre Odette 134 Comme Odette n'allait pas tarder Ă le faire, Mme Verdurin 135 Et moi aussi, il fallait que je rentrasse 136 Cependant comme, presque chaque fois que j'allais la voir, Mme Swann 137 Dans la confusion du salon 138 Par association, ce souvenir en ramena un autre dans ma mĂ©moire 139 DĂšs son arrivĂ©e, je saluais Mme Swann 140 Noms de pays le pays J'Ă©tais arrivĂ© Ă une presque complĂšte indiffĂ©rence Ă l'Ă©gard de Gilberte 141 Ma grand-mĂšre concevait naturellement notre dĂ©part 142 Ma mĂšre, voyant que j'avais peine Ă contenir mes larmes 143 Les levers de soleil sont un accompagnement des longs voyages 144 Ce que j'ai vu jusqu'ici c'Ă©tait des photographies de cette Ă©glise 145 Il n'est peut-ĂȘtre rien qui donne plus l'impression de la rĂ©alitĂ© 146 Quand Swann m'avait dit Ă Paris 147 J'avais beau avoir appris que les jeunes gens qui montaient 148 M. de Stermaria n'Ă©tait pas ce jour-lĂ Ă Balbec 149 Comme un coiffeur, voyant un officier qu'il sert 150 Or, en sortant du concert, comme, en reprenant le chemin 151 Nous fĂ»mes Ă©tonnĂ©s, ma grand-mĂšre et moi, de voir 152 Comme je quittais l'Ă©glise, je vis devant le vieux pont des filles du village 153 Nous apercevions dĂ©jĂ l'hĂŽtel, ses lumiĂšres si hostiles 154 Une aprĂšs-midi de grande chaleur j'Ă©tais 155 En revanche par moments ma pensĂ©e dĂ©mĂȘlait en Saint-Loup 156 Et puis chaque vice, comme chaque profession, exige et dĂ©veloppe un savoir 157 Saint-Loup me parla de la jeunesse, depuis longtemps passĂ©e 158 Je reconnaissais maintenant dans le regard dur 159 Cependant ma grand-mĂšre m'avait fait signe de monter me coucher 160 Un certain nombre d'autres infimes indices 161 J'allai voir Bloch Ă la suite de ce dĂźner 162 Ce jour-lĂ comme les prĂ©cĂ©dents, Saint-Loup avait Ă©tĂ© obligĂ© d'aller Ă DonciĂšres 163 Si nous pensions que les yeux d'une telle fille 164 Je ne sais pourquoi je me dis dĂšs le premier jour que le nom de Simonet 165 J'entendais le grondement de mes nerfs 166 Je ne connaissais aucune des femmes qui Ă©taient Ă Rivebelle 167 CĂ©lĂšbre, Elstir ne l'Ă©tait peut-ĂȘtre pas encore Ă cette Ă©poque 168 Ă partir de cet aprĂšs-midi-lĂ 169 Parfois Ă ma fenĂȘtre, dans l'hĂŽtel de Balbec 170 Mon hĂ©sitation entre les diverses jeunes filles de la petite bande 171 Le rebord de la fenĂȘtre fut bientĂŽt rose 172 Le soir tombait ; il fallut revenir ; je ramenais Elstir 173 C'est dans ces pensĂ©es silencieusement ruminĂ©es Ă cĂŽtĂ© d'Elstir 174 Si l'incarnation de nous-mĂȘme en ce qui nous en semblait le plus diffĂ©rent 175 Pensant que si je connaissais leurs amis j'aurais plus d'occasions de voir ces jeunes filles 176 Je rentrai Ă l'hĂŽtel, ma grand-mĂšre n'y Ă©tait pas 177 Autrefois j'eusse prĂ©fĂ©rĂ© que cette promenade eĂ»t lieu par le mauvais temps 178 Ătendu sur la falaise je ne voyais devant moi 179 Les yeux d'Albertine n'avaient cessĂ© d'Ă©tinceler 180 Ătourdi de chagrin, je lĂąchai la ficelle 181 Je voyais de cĂŽtĂ© les joues d'Albertine 182 Plaisant plus qu'elle ne voulait et n'ayant pas besoin de claironner ses succĂšs, Albertine 183 Puis les concerts finirent, le mauvais temps arriva, mes amies quittĂšrent Balbec 184 3. Le CĂŽtĂ© de Guermantes Le pĂ©piement matinal 185 Dans la maison que nous Ă©tions venus habiter 186 MalgrĂ© l'air de morgue de leur maĂźtre d'hĂŽtel 187 Mon pĂšre avait au ministĂšre un ami 188 Cependant mes regards furent dĂ©tournĂ©s de la baignoire de la princesse de Guermantes 189 Au moment oĂč cette seconde piĂšce commença 190 Maintenant tous les matins, bien avant l'heure oĂč elle sortait 191 Je n'aurais pas senti moi-mĂȘme que Mme de Guermantes Ă©tait excĂ©dĂ©e 192 Saint-Loup arriva, remuant dans tous les sens 193 Ah ! Robert, qu'on est bien chez vous 194 Si je voulais sortir ou rentrer sans prendre l'ascenseur ni ĂȘtre vu 195 Mais un peu plus tard j'allai souvent voir le rĂ©giment 196 Et prĂ©cisĂ©ment Ă l'hĂŽtel oĂč j'avais rendez-vous avec Saint-Loup 197 Je me plaisais surtout Ă causer avec ce jeune homme 198 Ces thĂ©ories de Saint-Loup me rendaient heureux 199 Je n'arrivais pas tous les soirs au restaurant de Saint-Loup 200 Tous les amis de Robert me dirent 201 Un matin, Saint-Loup m'avoua qu'il avait Ă©crit Ă ma grand-mĂšre 202 Ă ma demande d'aller voir les Elstir de Mme de Guermantes 203 Mon pĂšre nous avait racontĂ© qu'il savait maintenant 204 Ayant quittĂ© Paris oĂč, malgrĂ© le printemps commençant 205 J'aurais aimĂ© que nous puissions, toi et moi 206 Ă ce moment on vint dire Ă AimĂ© qu'un monsieur le priait 207 Un numĂ©ro du programme me fut extrĂȘmement pĂ©nible. Une jeune femme 208 Ă ce moment, je vis Saint-Loup lever son bras verticalement 209 Puis le talent n'est pas un appendice postiche 210 Mon Dieu, les ministres, mon cher Monsieur 211 Bonjour Alix, dit Mme de Villeparisis 212 Le visiteur importun entra 213 L'excellent Ă©crivain G*** entra 214 Un regard du baron de Guermantes 215 Bloch s'Ă©tait montrĂ© enchantĂ© de l'idĂ©e de connaĂźtre M. de Norpois 216 J'ai entendu que vous refusiez l'amie de Robert, dit Mme de Guermantes 217 Mais si, c'est trĂšs mystĂ©rieux, l'amour 218 M. de Norpois leva les yeux au ciel 219 Je vous trouve tous aussi assommants les uns que les autres avec cette affaire 220 Bloch ne put arriver Ă le faire parler de la question de la culpabilitĂ© de Dreyfus 221 Comme Bloch s'approchait d'elle pour lui dire au revoir 222 Ils causĂšrent un instant ensemble et sans doute de moi 223 C'est ainsi que le prince de Faffenheim avait Ă©tĂ© amenĂ© 224 J'ai racontĂ© bien auparavant ma stupĂ©faction 225 Qui sait, peut-ĂȘtre en voyant que j'agis ainsi 226 M. de Charlus s'interrompit pour me poser des questions sur Bloch 227 Pour ma part, Ă peine rentrĂ© Ă la maison 228 Ta grand-mĂšre pourrait peut-ĂȘtre aller s'asseoir 229 La marquise reprit un ton plus doux 230 Le CĂŽtĂ© de Guermantes II - 1 Nous retraversĂąmes l'avenue Gabriel 231 il semblait, de mĂȘme que la mĂ©chancetĂ© aime Ă exagĂ©rer 232 Dans un de ces moments oĂč, selon l'expression populaire 233 Le sixiĂšme jour, Maman, pour obĂ©ir aux priĂšres de grand-mĂšre 234 Quelques jours plus tard, comme je dormais, ma mĂšre vint m'appeler 235 Le CĂŽtĂ© de Guermantes II - 2 Depuis plusieurs nuits 236 Depuis le matin on avait allumĂ© le nouveau calorifĂšre 237 Tout cela est tirĂ© du trĂ©sor social. Mais justement le milieu d'Albertine 238 Si vraiment vous permettez que je vous embrasse 239 Albertine m'avait tant retardĂ© 240 Cependant je dois dire qu'une surprise d'un genre opposĂ© 241 Albertine me parlait peu, car elle sentait que j'Ă©tais prĂ©occupĂ© 242 J'ai dit et prĂ©cisĂ©ment c'Ă©tait, Ă Balbec, Robert de Saint-Loup 243 Car, le soir du brouillard, les nobles du cafĂ© 244 Cependant je regardais Robert et je songeais Ă ceci 245 La duchesse ne m'ayant pas parlĂ© de son mari 246 Comme le duc se gĂȘnait fort peu avec ses invitĂ©s 247 Ensuite je demandai au duc de me prĂ©senter 248 Le mĂȘme gĂ©nie de la famille prĂ©sentait Ă Mme de Guermantes 249 Un certain nombre de rĂ©alitĂ©s bonnes ou mauvaises 250 Quand le salon devenait trop plein 251 Ainsi grĂące, une fois Ă Taquin le Superbe 252 M. de Guermantes, Ă cette Ă©poque de sa vie 253 Cependant, en se mettant Ă table, la princesse de Parme 254 Ă tant de raisons de dĂ©ployer son originalitĂ© locale, les Ă©crivains prĂ©fĂ©rĂ©s 255 MalgrĂ© l'extrĂȘme fatigue qu'elle commençait Ă Ă©prouver, la princesse Ă©tait ravie 256 Puisque nous parlions de votre famille, Oriane, dit la princesse 257 La commode sur laquelle la plante est posĂ©e 258 AprĂšs avoir gravi les hauteurs inaccessibles du nom de Guermantes 259 Dans les familles bourgeoises on voit parfois naĂźtre des jalousies 260 Ă plusieurs reprises dĂ©jĂ j'avais voulu me retirer 261 Pour toutes ces raisons, les causeries avec la duchesse 262 Si vous voulez me dire, monsieur, qui m'a perfidement calomniĂ© 263 Mais enfin je ne puis vous donner d'Ă©claircissements 264 Ce fut le duc seul qui me reçut dans sa bibliothĂšque 265 Je n'avais pas vu Swann depuis trĂšs longtemps 266 S'il y avait tout le temps des querelles 267 4. Sodome et Gomorrhe On sait que bien avant d'aller ce jour-lĂ 268 J'avais perdu de vue le bourdon 269 DĂšs le dĂ©but de cette scĂšne une rĂ©volution, pour mes yeux dessillĂ©s 270 Pour les uns, ceux qui ont eu l'enfance la plus timide 271 Au reste j'exagĂ©rais beaucoup alors, devant cette rĂ©vĂ©lation premiĂšre 272 Sodome et Gomorrhe II - 1 Comme je n'Ă©tais pas pressĂ© d'arriver 273 Je fus Ă ce moment arrĂȘtĂ© par un homme assez vulgaire 274 La distance qui me sĂ©parait de l'entrĂ©e des jardins 275 Tellement distrait dans le monde que je n'appris 276 On ne cessa de trouver Ă ce salut toutes les qualitĂ©s 277 On vit passer une duchesse fort noire 278 J'avais grande envie de savoir ce qui s'Ă©tait exactement passĂ© entre le prince et Swann 279 J'allais traverser le fumoir et parler Ă Swann 280 Comme ces deux jeunes gens ont un air Ă©trange 281 Nous allĂąmes nous asseoir 282 Quand Swann fut parti, je retournai dans le grand salon 283 Je revois toute cette sortie 284 Ces pittoresques Ă©tudes de gĂ©ographie linguistique 285 Je fis semblant d'ĂȘtre en train d'Ă©crire 286 Certes le petit clan des Verdurin avait actuellement un intĂ©rĂȘt autrement vivant 287 Les Intermittences du coeur Ma seconde arrivĂ©e Ă Balbec 288 Quant Ă l'oubli de ma grand-mĂšre oĂč j'avais vĂ©cu jusqu'ici 289 Sur la carte qu'on me remit, Mme de Cambremer 290 Maman qui avait rencontrĂ© Albertine 291 Sodome et Gomorrhe II - 2 Dans ma crainte que le plaisir trouvĂ© 292 Avec l'orgueil dĂ©mocratique qui le caractĂ©risait 293 Quelques jours aprĂšs, Ă Balbec, comme nous Ă©tions dans la salle de danse du casino 294 Le Sidaner Ă©tait l'artiste Ă©lu par l'ami des Cambremer 295 Oh ! elles s'envolent, s'Ă©cria Albertine 296 Sur un signe de sa belle-fille, Mme de Cambremer 297 Comme si Albertine avait dĂ» avoir de la peine Ă croire 298 Non seulement les jeunes filles Ă©taient peu nombreuses 299 je montais au contraire dans la chambre de deux soeurs 300 Nous Ă©tions, Albertine et moi, devant la station Balbec 301 Tout en causant avec lui, mais briĂšvement 302 Pendant les premiĂšres secondes oĂč le petit groupe se fut engouffrĂ© dans le wagon 303 Cottard disait beaucoup plus souvent 304 C'est en silence et sans plaisanteries de mauvais goĂ»t 305 Oubliant qu'elle tenait Ă son coin, Mme Sherbatoff 306 Le sculpteur fut trĂšs Ă©tonnĂ© d'apprendre que les Verdurin 307 Je venais de transmettre Ă Mme Verdurin le message 308 Enfin, un jardin de curĂ© 309 Un philosophe qui n'Ă©tait pas assez moderne pour elle, Leibniz 310 Saniette voyait avec joie la conversation prendre un tour si animĂ© 311 Vous comprenez que je ne regrette pas Elstir 312 Je ne saurais dire aujourd'hui comment Mme Verdurin 313 Est-ce que vous comptez rester longtemps sur la cĂŽte 314 Des rafraĂźchissements Ă©taient servis 315 On distinguait Ă peine la mer 316 Sodome et Gomorrhe II - 3 Je tombais de sommeil 317 Quand j'avais croisĂ© M. de Charlus 318 ArrivĂ©e au bas de la route de la corniche, l'auto monta 319 Il peut sembler que mon amour pour les fĂ©eriques voyages en chemin de fer 320 Quand Albertine trouvait plus sage de rester Ă Saint-Jean-de-la-Haise pour peindre 321 AprĂšs le dĂźner l'auto ramenait Albertine 322 Pour revenir au mĂ©canicien 323 Il faisait dĂ©jĂ nuit quand nous montions dans l'omnibus 324 Albertine ne pouvait le gĂȘner 325 Quand M. de Charlus ne parlait pas de son admiration pour la beautĂ© de Morel 326 Quand, pour une raison quelconque, on introduit 327 Si M. de Charlus en jetant sur le papier cette lettre 328 Cottard arriva enfin quoique mis trĂšs en retard 329 Cependant le soir oĂč Morel devait ĂȘtre absent Ă©tait arrivĂ© 330 Les relations des Cambremer ne tardĂšrent pas 331 Le jour du dĂźner venu, on attendait dans le grand salon de FĂ©terne 332 Il suffit de la sorte qu'accidentellement 333 Sodome et Gomorrhe II - 4 Je n'attendais qu'une occasion pour la rupture 334 Peu Ă peu le ciel Ă©teint s'allumait 335 Deux ou trois fois, pendant un instant 336 5. La PrisonniĂšre DĂšs le matin, la tĂȘte encore tournĂ©e contre le mur 337 MalgrĂ© tout et mĂȘme en dehors de la question convenance 338 Sans me sentir le moins du monde amoureux d'Albertine 339 Françoise venait allumer le feu 340 Mais dĂ©jĂ la journĂ©e finissait et j'Ă©tais envahi par la dĂ©solation du soir 341 Bien souvent, par exemple, ce n'Ă©tait pas pour donner le change 342 Charlie avait d'autant moins Ă©coutĂ© ces Ă©loges 343 Ainsi, Ă la fin de son sĂ©jour Ă Balbec, il avait perdu 344 DĂšs que la jalousie est dĂ©couverte, elle est considĂ©rĂ©e par celle 345 Albertine n'avait-elle pas Ă©tĂ© devant l'hĂŽtel comme une grande actrice de la plage en feu 346 Mais ce plaisir de la voir dormir 347 J'avais promis Ă Albertine que, si je ne sortais pas avec elle 348 Ce soir-lĂ , le projet qu'Albertine avait formĂ© 349 D'ailleurs, Albertine m'effrayait en me disant 350 La souffrance dans l'amour cesse par instants, mais pour reprendre 351 Je ne trouvais nullement rĂ©prĂ©hensible 352 Le lendemain de cette soirĂ©e oĂč Albertine m'avait dit 353 Dans ces divers sommeils, comme en musique encore 354 J'Ă©tais en tout cas bien content qu'AndrĂ©e accompagnĂąt Albertine 355 Je me mis Ă lire la lettre de maman 356 N'importe, cela revenait au mĂȘme. Il fallait Ă tout prix empĂȘcher 357 D'abord il fallait ĂȘtre certain que LĂ©a allĂąt vraiment au TrocadĂ©ro 358 Mais malgrĂ© la richesse de ces oeuvres 359 J'avais Ă peine le temps d'apercevoir 360 Parfois, dans les heures oĂč elle m'Ă©tait le plus indiffĂ©rente, me revenait le souvenir 361 Pour lui faire paraĂźtre sa chaĂźne plus lĂ©gĂšre 362 La PrisonniĂšre - 2 Je devinai longtemps aprĂšs 363 La mort de Swann m'avait, Ă l'Ă©poque, bouleversĂ© 364 C'est comme ça, Brichot, que vous vous promenez la nuit avec un beau jeune homme 365 Oui, elle sait se vĂȘtir 366 Mais il est temps de rattraper le baron 367 Si nous n'avions que des membres 368 Ces exclusions de M. de Charlus 369 Mme Verdurin attendait donc les invitĂ©es du baron 370 Ce qui perdit M. de Charlus ce soir-lĂ fut la mauvaise Ă©ducation 371 Vinteuil Ă©tait mort depuis nombre d'annĂ©es 372 Cependant le septuor qui avait recommencĂ© 373 Pour cette fĂȘte-ci, les Ă©lĂ©ments impurs qui s'y conjuguaient 374 Les invitĂ©es de M. de Charlus s'en allĂšrent 375 Or, comme je sortais du salon appelĂ© salle de théùtre 376 J'avais Ă©tĂ© frappĂ© en apprenant que le nom Villeparisis 377 Je vis que M. de Charlus allait nous dire 378 DĂ©jĂ dans son esprit rusĂ© avait germĂ© une combinaison 379 Ainsi M. de Charlus, pour anticiper 380 La PrisonniĂšre - 3 On pourrait croire, avec le caractĂšre terrible de M. de Charlus 381 Albertine ne m'avait jamais dit qu'elle me soupçonnĂąt d'ĂȘtre jaloux 382 Mais pendant qu'elle me parlait, se poursuivait en moi 383 Cette crainte vague Ă©prouvĂ©e par moi chez les Verdurin, qu'Albertine me quittĂąt 384 Il n'y eut qu'un moment oĂč j'eus pour elle une espĂšce de haine 385 Ce matin-lĂ , pendant qu'Albertine dormait et que j'essayais de deviner ce qui Ă©tait cachĂ© en elle 386 Tout avait pĂ©ri de ce temps, mais tout renaissait 387 Les phrases de Vinteuil me firent penser Ă la petite phrase 388 Par instants, dans les yeux d'Albertine 389 Mais enfin du moins, AndrĂ©e allait partir 390 Je savais bien qu'elle ne pouvait me quitter sans me prĂ©venir 391 Nous nous arrĂȘtĂąmes dans une grande pĂątisserie 392 6. Albertine disparue Mademoiselle Albertine est partie 393 Certes, ce coup physique au coeur que donne une telle sĂ©paration 394 Devant la porte d'Albertine, je trouvai une petite fille pauvre 395 Saint-Loup, que je savais Ă Paris, fut mandĂ© par moi 396 Saint-Loup devait ĂȘtre Ă peine dans le train 397 Puis la concurrence des autres formes de la vie rejetait dans l'ombre 398 J'Ă©crivis Ă Albertine 399 En faisant la chambre d'Albertine, Françoise, curieuse 400 Mais en somme la lettre d'Albertine n'avançait en rien 401 Pour que la mort d'Albertine eĂ»t pu supprimer mes souffrances 402 D'ailleurs, au souvenir des heures mĂȘme purement naturelles 403 Ce qui remplissait mon coeur maintenant 404 Comme elle accourait vite me voir Ă Balbec 405 Ma sĂ©paration d'avec Albertine 406 Je n'avais pas encore reçu de nouvelles d'AimĂ© 407 AimĂ© alla loger Ă cĂŽtĂ© de la villa de Mme Bontemps 408 Ce qui vint Ă mon secours contre cette image de la blanchisseuse 409 Si encore ce retrait en moi des diffĂ©rents souvenirs d'Albertine 410 Aussi la lecture des journaux m'Ă©tait-elle odieuse 411 Les romanciers prĂ©tendent souvent 412 Je ramenais avec moi les filles qui m'eussent le moins plu 413 Mademoiselle de Forcheville Ce n'Ă©tait pas que je n'aimasse encore Albertine 414 Quelques jours aprĂšs, ma mĂšre entrant dans ma chambre 415 Aussi aprĂšs le dĂ©jeuner, quand j'allai chez Mme de Guermantes 416 La duchesse finissait d'ailleurs par Ă©prouver de sa persĂ©vĂ©rance 417 Quand M. de Guermantes eut terminĂ© la lecture de mon article 418 Nous Ă©tions dans ma chambre pour une autre raison 419 En ce qui concerne le jeune homme sportif, neveu des Verdurin 420 Quand AndrĂ©e fut partie 421 Je lui montrai le papier 422 SĂ©jour Ă Venise Ma mĂšre m'avait emmenĂ© passer 423 Plusieurs des palais du Grand Canal Ă©taient transformĂ©s en hĂŽtels 424 Parfois au crĂ©puscule en rentrant Ă l'hĂŽtel je sentais que l'Albertine d'autrefois 425 AprĂšs le dĂ©jeuner, quand je n'allais pas errer seul dans Venise 426 Le soir je sortais seul, au milieu de la ville enchantĂ©e oĂč je me trouvais 427 Nouvel aspect de Robert de Saint-Loup Oh ! c'est inouĂŻ 428 Dans la maison de femmes â oĂč on procurait de plus en plus des hommes 429 Ces deux mariages dont nous parlions avec ma mĂšre 430 Une autre erreur encore que tout jeune lecteur peu au courant 431 Je compris qu'une sĂ©paration avait failli se produire entre Robert et sa femme 432 Dans une soirĂ©e oĂč j'avais rencontrĂ© Robert 433 Je n'aurais d'ailleurs pas Ă m'arrĂȘter sur ce sĂ©jour que je fis Ă cĂŽtĂ© de Combray 434 7. Le Temps retrouvĂ© Toute la journĂ©e, dans cette demeure 435 J'eus du reste l'occasion, pour anticiper 436 Je ne voulus pas emprunter Ă Gilberte sa Fille aux yeux d'or 437 Je m'arrĂȘtai lĂ , car je partais le lendemain 438 M. de Charlus pendant la guerre Cette disposition-lĂ , les pages de Goncourt 439 Le salon Saint-Euverte Ă©tait une Ă©tiquette dĂ©fraĂźchie 440 Tous ces tĂ©lĂ©phonages de Mme Verdurin 441 Quarante-huit heures n'Ă©taient pas passĂ©es que certains faits que j'appris 442 Je parlai Ă Saint-Loup de mon ami le directeur du Grand HĂŽtel de Balbec 443 Ils n'Ă©taient pas restĂ©s Ă Tansonville 444 C'est ainsi qu'ayant voulu aller chez Mme Verdurin 445 Au temps oĂč je croyais ce qu'on disait, j'aurais Ă©tĂ© tentĂ© 446 La guerre se prolongeait indĂ©finiment 447 C'est comme au théùtre quand on dit 448 Que cette parenthĂšse sur Mme de Forcheville 449 Je pensai aussitĂŽt Ă Combray 450 AprĂšs le raid de l'avant-veille, oĂč le ciel avait Ă©tĂ© plus mouvementĂ© que la terre 451 Mais il faut revenir en arriĂšre. Je descends les boulevards 452 Tout d'un coup le patron entra, chargĂ© de plusieurs mĂštres de grosses chaĂźnes de fer 453 Je descendis et rentrai dans la petite antichambre oĂč Maurice 454 Comme il est simple ! jamais on ne dirait un baron 455 Tout en me rapprochant de ma demeure, je songeais 456 Dans ce livre oĂč il n'y a pas un seul fait qui ne soit fictif 457 MatinĂ©e chez la princesse de Guermantes La nouvelle maison de santĂ© 458 Quand Jupien eut aidĂ© le baron Ă descendre 459 Mais c'est quelquefois au moment oĂč tout nous semble perdu 460 Mais le souvenir douloureux d'avoir aimĂ© Albertine 461 Un rayon oblique du couchant me rappela instantanĂ©ment un temps 462 L'idĂ©e d'un art populaire comme d'un art patriotique 463 Comment la littĂ©rature de notations aurait-elle une valeur 464 Il n'est pas certain que, pour crĂ©er une oeuvre littĂ©raire, l'imagination et la sensibilitĂ© 465 Certes nous sommes obligĂ© de revivre notre souffrance particuliĂšre 466 Si je m'Ă©tais toujours tant intĂ©ressĂ© aux rĂȘves 467 Le Bal de tĂȘtes Ă ce moment le maĂźtre d'hĂŽtel 468 Certes, dans les coulisses du théùtre 469 Presque aussitĂŽt aprĂšs quelqu'un parla de Bloch 470 En plusieurs, je finissais par reconnaĂźtre, non seulement eux-mĂȘmes 471 Il y avait des hommes que je savais parents d'autres 472 Chose curieuse, le phĂ©nomĂšne de la vieillesse semblait dans ses modalitĂ©s 473 Mais aprĂšs cette anticipation, revenons trois ans en arriĂšre 474 Encore la sensation du temps Ă©coulĂ© et d'une petite partie disparue de mon passĂ© 475 Du reste, il faut bien dire que cette ignorance des situations rĂ©elles 476 Plus d'une des personnes que cette matinĂ©e rĂ©unissait 477 Une dame sortit, car elle avait d'autres matinĂ©es 478 Je regardais Gilberte, et je ne pensai pas 479 Or pendant ce temps avait lieu Ă l'autre bout de Paris 480 Cependant je remarquai, sans aucune satisfaction d'amour-propre 481 Bloch s'Ă©tant approchĂ© de nous 482 La vie de la duchesse ne laissait pas d'ailleurs d'ĂȘtre trĂšs malheureuse 483 Par moments, sous le regard des tableaux anciens rĂ©unis par Swann 484 Mais comment puis-je vous parler de ces sottises 485 Enfin cette idĂ©e du Temps avait un dernier prix pour moi 486 Maintenant, me sentir porteur d'une oeuvre 487 Fin Ce serait un livre aussi long que Les Mille et Une Nuits
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PubliĂ© le 10/05/2019 Ă 0222 Ă la recherche des Ćufs perdus. Non, ce nâest pas le titre dâun roman policier de Georges Simenon, ni dâun Ă©niĂšme tome Ă©crit par Marcel Proust, câest tout simplement un moment inoubliable que les cinquante-quatre Ă©lĂšves des classes maternelles, en compagnie de quelques parents, et sous la direction de Delphine Maraval ont partagĂ© le 7 mai aprĂšs-midi avec les locataires de la maison de retraite de Corneilhan. Un moment de convivialitĂ© qui a permis aux enfants dâĂ©voquer, Ă travers la chasse aux Ćufs de PĂąques, la recherche aussi du temps passĂ©, rappelant aux anciens les tendres moments de leur enfance. Certains ont Ă©tĂ© Ă©mus de voir petits et grands partir Ă travers cette formidable machine quâest la mĂ©moire, Ă la dĂ©couverte, pour les anciens, de leurs souvenirs effacĂ©s, lorsquâils se rendaient en famille casser les Ćufs pour faire lâomelette, les uns au bois des Croyes ou pour dâautres Ă celui de Mazassy. Ce sont alors des bandes entiĂšres qui, aprĂšs la messe et la cĂ©lĂ©bration de PĂąques, se rĂ©unissaient pour faire la fĂȘte. Des instants de bonheur remĂ©morĂ©s Ă la dĂ©couverte dâun Ćuf cachĂ© derriĂšre un pot de fleurs ou un buisson. Que de moments perdus pour les nouvelles gĂ©nĂ©rations qui ne ramassent les Ćufs que sur les jeux virtuels qui fleurissent sur la toile ou derriĂšre leur Ă©cran de tĂ©lĂ©phone les enfants de la maternelle nâen sont pas encore lĂ . Pour eux câest une expĂ©rience enrichissante, eux qui partagent ces moments de tendresse et de complicitĂ© Ă lâĂ©vocation des moments oubliĂ©s qui ressurgissent, lorsquâun papi remettant un chocolat Ă une petite fille se souvient quâil nâavait pas eu cette chance Ă©tant enfant, mais que lâexpĂ©rience fait ils vont grandir ces petits, marquĂ©s dans leur mĂ©moire par ces gestes affectueux qui les rattacheront Ă leurs racines corneilhanaises.
Derniersinstants Il me revient des images. Depuis quelques annĂ©es, je les ressasse, et encore aujourdâhui, parfois je doute. Est-ce moi, cette forme aux gestes violents ? Moi qui frappe cette fille perdue avec mes gros poings ? Ce cauchemar me hante et, dâailleurs, on mâaccuse. Ils mâont jugĂ© coupable. Alors ça doit ĂȘtre vrai. Ai-je créé cette scĂšne dâaprĂšs les interrogatoires ?
26 mai 2022 4 26 /05 /mai /2022 1829 Il a fallu grouper 2 catĂ©gories aujourd'hui Ă Villuis pour rassembler un semblant de peloton. Pas venu pour vendre du muguet, Arnaud trouve rapidement que la progression Ă 25km/h est un peu faible et sort avec un autre concurrent. Le pĂ©riple sâachĂšvera au bout de 2 tours quand le peloton dĂ©cidera de rouler. Dans un paquet maigrichon on se retrouve vite en queue et la premiĂšre cassure sera la bonne. AprĂšs, terminĂ© ... il n'y a plus qu'Ă rejoindre l'arrivĂ©e. Pas de quoi se taper le c... parterre de plaisir mais on connait la rĂšgle en s'engageant. Bonne sortie quand mĂȘme permettant de confirmer le constat d'un dĂ©ficit de puissance entre quelqu'un courant une fois de temps en temps avec les vĂ©ritables coursiers. Published by - dans Commentaires de courses
Maisparfois, ces poils censĂ©s disparaĂźtre en fin de grossesse, avant lâaccouchement, persistent : bĂ©bĂ© naĂźt alors recouvert de poils. Si les raisons de leur prĂ©sence aprĂšs la naissance ne sont pas forcĂ©ment connues, ce lanugo, notamment prĂ©sent chez les petits bouts qui naissent avant le terme, peut sâexpliquer par la
ï»żPrĂ©-requis avoir terminĂ© la quĂȘte âMieux vaut ne pas se fier Ă la premiĂšre impressionâ. Pour lancer la quĂȘte, allez voir Steff Taff en 7 , 25 Continuez de lui parler jusquâĂ rĂ©pondre comme suit Comment trouver une pomme? PremiĂšre solution lâHDV bien sĂ»r, dans la rubrique Friandises des Boulangers. Sinon il vous faudra faire soit la quĂȘte âCharger la muleâ, soit la quĂȘte âĂpicerie fineâ. Une fois en possession du fruit dĂ©fendu, retourner voir Steff Taff Continuer le dialogue jusquâĂ la fin, vous devrez retrouver des reliques de son passĂ©. Pour cela commencez par vous rendre en 1 , 26 et touchez lâendroit indiquĂ©. Un combat sâenclenchera alors contre un Mal de Kwoan et vous droperez une des reliques Rendez vous ensuite en 9 , 21, mĂȘme principe Enfin rendez vous en 7 , 16 la derniĂšre relique Vous pouvez maintenant retourner voir Steff Teff Ă lâatelier des bricoleur de Sufokia en 7 , 25 Finissez le dialogue et voilĂ , la quĂȘte est terminĂ©e ! vous gagnerez un Masque de Taff une coiffe suuuuuper belle ^^â
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MalgrĂ© la terreur et le chaos, Leia a continuĂ© de chercher ses animaux de compagnie suite Ă la terrible explosion de explosions dĂ©vastatrices qui ont eu lieu Ă Beyrouth en aoĂ»t 2020 ont laissĂ© en un clin dâĆil quelque 300 000 personnes sans abri. De nombreuses familles ont perdu leurs proches, mais cette catastrophe a Ă©galement affectĂ© leurs animaux de compagnie. DĂ©couvrez ici lâincroyable histoire de Leia et de ses chiens la catastrophe et les premiĂšres minutes de confusion, tous les voisins ont essayĂ© de sâentraider. Au milieu dâun chaos de verre brisĂ©, de sang, de fumĂ©e et de dĂ©sespoir, la communautĂ© sâest rĂ©unie pour se rĂ©fugier dans ce quâelle pensait au dĂ©but ĂȘtre une guerre comme celle de nâa songĂ© Ă abandonner ses animaux de compagnie. Mais Ă lâinstar des humains, ces derniers avaient Ă©galement peur et Ă©taient dĂ©sorientĂ©s. DĂ©couvrez avec nous cette histoire dâefforts et de dĂ©passement de soi qui montre que lâamour dâun maĂźtre pour son chien ne connaĂźt pas de instants aprĂšs lâexplosion et les premiĂšres pensĂ©es de LeiaPersonne nâimaginait ce que stockait le port de Beyrouth. Selon le gouvernement libanais, 2 750 tonnes de nitrite dâammonium sont Ă lâorigine de lâexplosion. Ce composĂ© sâutilise souvent comme engrais, mais aussi pour crĂ©er des a Ă©tĂ© saisi sur un navire russe en 2014 et stockĂ© dans le port de Beyrouth. Bien que de hauts fonctionnaires des douanes aient tentĂ© dâen extraire le nitrate et de le donner Ă lâarmĂ©e libanaise, ils nâont jamais obtenu une travaux de soudure dans lâentrepĂŽt attenant ont malheureusement dĂ©clenchĂ© un incendie qui sâest soldĂ© par une terrible explosion. Il en rĂ©sulte 135 victimes tuĂ©es sur le coup, 5 000 disparus et 300 000 personnes dĂ©placĂ©es. Câest dans ce dernier groupe quâentre lâhistoire de Leia et de ses chiens Leia, une lumiĂšre blanche est apparue dans un coin de sa chambre, alors quâelle ne pouvait voir que du verre brisĂ© et du bois Ă©clatĂ©. Sa premiĂšre pensĂ©e a Ă©tĂ© pour sa pas sa famille biologique qui se trouvait en sĂ©curitĂ© loin de Beyrouth, mais sa famille adoptive. Leia a ainsi songĂ© Ă ses compagnons Ă fourrure quâelle avait adoptĂ© les annĂ©es est apparu devant ce qui Ă©tait autrefois sa porte pour lui dire que ses chiens allaient bien. Avec sa colocataire Lizzie, elle se dirigea donc vers la sortie Ă travers une mer de se trouvent les chiens perdus dans lâexplosion de Beyrouth ?Craignant une nouvelle explosion, empreinte du souvenir de la guerre du Liban de 2006, Leia et ses voisins se sont rĂ©fugiĂ©s sous un escalier. Ă sa grande surprise, sây trouvait Fred, son chien le plus ĂągĂ©. Mais le chiot Bunduq, que Leia avait recueilli aprĂšs que sa premiĂšre famille lâabandonne par peur du COVID-19, nâĂ©tait pas ne sâest pas sĂ©parĂ© de sa maĂźtresse les jours suivants. Il a dĂ©fendu les ruines de ce qui fut sa maison pendant quâils attendaient que Bunduq trouve le chemin du chiens apportent Ă Leia un sentiment de stabilitĂ© dans la font partie de sa maison, de la famille quâelle a choisi. Comme elle le dit âJe nâai pas choisi mon animal de compagnie, il mâa choisi.âUn mouvement social pour retrouver les chiens perdusComme Fred et Bunduq, de nombreux chiens se sont perdus aprĂšs les explosions de Beyrouth. Tous les chiens ont Ă©tĂ© progressivement retrouvĂ©s par le biais dâun groupe WhatsApp auquel participait Leia, appelĂ© maman chien », et Ă travers les rĂ©seaux ne pouvait malheureusement pas sortir Ă la recherche de Bunduq, car elle a dĂ» rester plusieurs jours Ă lâhĂŽpital en raison de graves coupures aux pieds. Elle nâa toutefois pas cessĂ© de publier des informations sur la disparition de son chien. Elle a Ă©galement priĂ© quâil sache retrouver le chemin du ailleurs, ses amis nâont pas arrĂȘtĂ© de chercher de Bunduq dans les rues. Ils ont accrochĂ© des affiches et interrogĂ© les voisins. Un organisme de bienfaisance local qui aide les animaux sans abri a lancĂ© un appel pour retrouver le chien. Malheureusement, aucun signe de un signe de BunduqLes jours ont passĂ© et Leia commençait Ă perdre espoir. Son chien disparu avait pu ĂȘtre Ă©crasĂ© par une voiture ou souffrir de terribles blessures Ă la suite de lâexplosion lâempĂȘchant de rentrer Ă la jour, alors que Leia Ă©crivait un blog sur la brigade canine qui recherche de personnes dans les dĂ©combres, lâĂ©cran de son tĂ©lĂ©phone portable sâest allumĂ©. Le message suivant est apparu âVous avez perdu un chien ? Je pense que je lâai trouvĂ©. âLa personne avait trouvĂ© Bunduq Ă Beyrouth aprĂšs lâexplosion et lâavait emmenĂ© Ă Tripoli, Ă plus de 50 kilomĂštres de lĂ . Son sauveteur avait tout perdu dans les explosions et avait dĂ» se dĂ©placer. Il nâallait toutefois pas laisser seul un pauvre chiot effrayĂ©. Sans rĂ©flĂ©chir, il lâa embarquĂ© dans sa problĂšme comment parvenir jusquâĂ lui ?Leia nâavait pas de voiture pour se dĂ©placer. Elle a Ă©galement dĂ» subir plusieurs chirurgies pour soigner tous les tendons sectionnĂ©s de ses pieds. Ă sa grande surprise, une association appelĂ©e âLes amoureux des animaux du Libanâ a Ă©laborĂ© un plan pour ramener Bunduq. Câest ainsi quâĂ deux heures du matin, ce mĂȘme jour, le chiot Ă©tait de retour sur les genoux de Leia. Des histoires comme celle-ci, oĂč des ĂȘtres humains travaillent ensemble ramener un ĂȘtre perdu auprĂšs de sa famille, redonnent espoir en lâespĂšce tout, nous ne pouvons pas oublier que Beyrouth est toujours en ruines. De nombreuses personnes ont Ă©tĂ© dĂ©placĂ©es vers les montagnes ou dans dâautres villes. Le rĂ©seau de santĂ© nâest toujours pas Ă 100 % opĂ©rationnel, mais les habitants continuent nĂ©anmoins Ă sâ pourrait vous intĂ©resser ...
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a la recherche des instants perdus